La pratique sportive chez des sujets atteints de diabète de type 2 va permettre d’améliorer les capacités aérobies, l’équilibre glycémique en limitant le risque d’hypoglycémie jusqu’à 72 heures après la pratique sportive, va améliorer le contrôle glycémique et diminuer l’insulinorésistance avec une amélioration significative de la sensibilité à l’insuline persistante plus de 3 ans après l’arrêt de la pratique dans le cadre d’une modification du mode de vie.

Avant de commencer la pratique physique il faut adapter l’alimentation à la durée de l’effort. Les efforts inférieurs à 1h30 n’ont besoin d’aucun apport alimentaire mais les efforts supérieurs à 1h30 devront apporter des glucides par l’alimentation durant l’effort.

Après l’effort physique si la glycémie après l’effort est inférieure à 0,80g/L une collation glucidique est nécessaire.

Les personnes atteintes d’un diabète de type 1 à une moindre amélioration de l’équilibre glycémique et de l’hémoglobine glycquée (HbA1c), possibilité d’un déséquilibre de la glycémie selon l’exercice pratiqué. Il est très important de correctement choisir le site d’injection selon le type d’activité physique pratiqué.